Jour 8 : Trigg Beach – Cervantes
Le camping-car est vraiment spacieux. La table du petit dej’ un peu haute, peut-être…
Matinée sur la plage. Surfeurs et joggeurs sont là dès 8 heures du matin.
Isa prend ses premiers coups de soleil et son premier bain dans l’océan Indien, aperçoit à quelques dizaines de mètres une silhouette sombre qui glisse sous l’eau… Raie ? Poisson ? Requin ? En tout cas, pas un danger répertorié.
Sur la route, après moins d’un kilomètre, coup de chance, on tombe sur un camping-car identique au nôtre stationné près d’une aire de pique-nique. Pause déjeuner en attendant le retour des propriétaires… Le gars a un accent à couper au couteau mais l’essentiel, c’est la démonstration : ce soir, on abaissera la table et on dormira dans notre lit !
Des voiles pour protéger les aires de jeux, les terrasses des cafés ou des maisons… Il y en a partout, et c’est plutôt joli.
Cap au nord, vers Cervantes. Tout le long de la route, urbanisation récente et quartiers résidentiels qui n’en finissent pas. Avec tout de même une version sympathique de la corniche de Saint-Hilaire-de-Riez !
On double une Kangoo, et pour Yaël et Denis, Olivier tient absolument à ce que je prenne la photo. Alors voilà.
Après une centaine de kilomètres, la ville disparaît, la circulation se raréfie. Et il fait chaud.
Comme on n’est pas encore très au point sur le parcours et notre vitesse de pointe, on termine la route de nuit…
… ce qui est vraiment déconseillé en raison du risque d’accident avec les kangourous. Même si pour l’instant, notre seule rencontre avec l’un de ces animaux est celle d’une carcasse rigide renversée sur le bas-côté.
60 kilomètres dans le bush vers Cervantes et le soleil couchant. Il n’y a pas une maison, pas une voiture, rien, le ciel est grandiose. Ca y est, l’aventure commence !
Arrivée nocturne au Pinnacles Caravan Park. Branchement électrique = clim + micro-ondes en état de marche + coup de fouet pour le frigo, qui se remet enfin à faire du froid.